EK Chain au banc d'essai ultime : le Tourist Trophy de l'Île de Man.
Quand la performance ne tolère aucun compromis, les marques les plus exigeantes vont chercher leur légitimité là où la mécanique est poussée dans ses derniers retranchements. Pour EK Chain, c'est sur les routes mythiques et terrifiantes du Tourist Trophy, sur l'île de Man, que se joue la vérité technique.
Un terrain d'épreuve sans équivalent
Le TT, c'est 60 kilomètres de routes ouvertes métamorphosées en circuit. Un tracé rapide, piégeux, sans dégagements ni marge d'erreur. Bordures de trottoirs, murets, arbres à 280 km/h, l'environnement devient létal à la moindre faute. Et ce n'est pas qu'un défi pour les pilotes : chaque composant de la moto est mis à rude épreuve.
C'est dans ce contexte que EK Chain engage ses chaînes, en conditions réelles, sur des machines de course pilotées par des pointures comme Michael Evans ou Nathan Harrison. Un choix stratégique : ici, tout se joue à la vibration près. À ce niveau, la transmission n'est pas un détail c'est un enjeu de survie.
ZVX3 : la technologie route éprouvée en course
Les chaînes utilisées lors du TT sont issues de la série ZVX3, un modèle commercialisé et disponible chez les revendeurs EK. Pas de développement spécifique, pas de version "factory" inaccessible au public : c'est le même produit que celui monté sur des hypersportives de série. Un positionnement assumé par la marque, qui préfère la validation en conditions extrêmes plutôt qu'en labo climatisé.
Conçues selon les standards japonais d'ultra-précision, les chaînes EK se distinguent par leur résistance à l'élongation, leur fiabilité à très haut régime, et leur capacité à maintenir la tension malgré les contraintes thermiques et dynamiques violentes du TT. Sauts à plus de 150 km/h, courbes rapides en pleine charge, freinages violents... tout y passe.
Une légitimité forgée dans la réalité
Dans un contexte où les marques cherchent souvent à "raconter une histoire", EK Chain prend le pari inverse : démontrer par les faits. Pas de storytelling, pas de grand discours marketing. Juste des données de course, des résultats, et des chaînes qui tiennent là où la mécanique casse.
Car si elles survivent à l'Île de Man, elles survivront à tout. Ce n'est pas une promesse : c'est un constat.
Crédits infos et images : Bihr
Avis des motards